Voici les liens vers différents articles et études le démontrant :

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352484722000634

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S240584402032449X

https://www.ffem.fr/en/carte-des-projets/reducing-environmental-impact-essential-oils-distillation-sector

https://www.amberluna.co.uk/blog/essential-oils-sustainability

Le terme n'existait pas, nous venons de l'entériner. Il désigne le pourcentage de la biomasse réellement dédié à la production. Dans une plante, seules les feuilles, les fleurs ou pour certaines les racines, produisent l'huile essentielle. Quand il s'agit des feuilles et des fleurs, celles ci ne dépassent pas les 5% de la masse totale de la plante, les 95% du poids étant les tiges et les racines (lorsque celles-ci ne sont pas le centre de production de l'huile comme le curcuma ou l'angélique).

Augmenter la biomasse utile c'est faire en sorte que 95% de la plante soit activement en train de produire l'huile essentielle, c'est une nouvelle manière d'augmenter les rendements par notre génie génétique et métabolique non invasif.

TLDR: Par design notre méthode l'a fait chuter à zéro.

Pour comprendre on va contextualiser

Méthode classique

La méthode traditionnelle d'extraction pour l'huile essentielle se fait en jetant les fleurs ou les feuilles dans un alambic dans lequel il y a de l'eau, on chauffe à 100°C, la chaleur écarte les feuilles/fleurs qui libèrent les huiles. Les huiles sont des composé volatiles, ils deviennent gazeux passé les 100°C, ils se retrouvent dans l'enceinte de l'alambic avec la vapeur d'eau, ils passent par une colonne de refroidissement les faisant ainsi repasser à l'état liquide, ensuite la gravité permet de séparer l'eau de l'huile, la dernière étant au dessus de la première, on évacue par le bas toute l'eau pour ne garder que l'huile.

Techniques récentes

Les techniques récente par CO2 supercritique et par solvant ont l'avantage d'augmenter les rendements d'extraction mais s'amalgament toujours avec l'huile, ce qui, avec les solvants, augmente le taux d'impureté, ce qui nécessite un processus de purification qui n'est pas parfait et ajoute des produits cancérogènes au mix final.

Avec le CO2, en bref ça dégrade la condition de l'huile qui change les molécules et donc leurs profils olfactifs et pharmaceutiques, le produit fini est en plus grande abondance mais est altéré négativement et de qualité réduite dans les deux cas.

Généralement, on préfère l'extraction à la vapeur d'eau, dite hydrodistillation pour obtenir un produit pur et sain.

L'Extraction Non-Destructive™

Notre méthode consiste en l'extraction in situ, en condition standard de pression et de température sans tuer la plante, sans même lui provoquer des lésions quelconques, ainsi, aucun constituant cellulaire ne traverse la plante.

Ensuite, nous procédons à une hydrodistillation avec de l'eau distillée, sous vide à 30 ou 50mBar entre 60 et 75°C, ce qui évite la dégradation de certaines molécules sensibles constituant l'huile tout en empêchant la "carbonisation" (=une odeur persistante de brûlé présente au delà de 75°C).

On obtient ainsi, l'huile essentielle la plus pure jamais produite, non contaminée, saine de tous les artéfacts précédemment décrits,  sans coût astronomique de purification.

Comme tous les termes importants, il a fini par être galvaudé à force d'utilisation abusive.

Voici la définition :  [En parlant d'une décharge électrique] Qui se produit avec soudaineté et s'accompagne d'une étincelle.

La métaphore sied donc parfaitement au secteur de l'innovation technologique, c'est pourquoi il à été usé, abusé, rabâché et a fini par perdre sa puissance descriptive.

Une technologie de rupture ou disruptive rompt une tendance de développement dite incrémentale ou un processus gagne en rendement par coup de +2% par ci, +5% par là.

Nous pouvons nous permettre d'utiliser ce terme car nos technologies et notre processus de production changent complètement le paradigme de production, voici une image pour simplement décrire notre travail : Nous nous proposons de traire les plantes pour obtenir leurs huiles comme on trait les vaches pour obtenir leur lait.

C'est un développement inédit qui tombe sous le sens lorsque formulé ainsi, et qui pourtant n'a jamais été employé avant nous.

La manière de produire l'huile essentielle est veille de plus de 3000ans pour être exact, la dernière innovation technique incrémentale par vapeur d'eau date d'il y a 1200ans, amenée par les perses en occident.

Par climat on entend le cycle des saisons atmosphériques, celui-ci induit des variations au niveau des sols qui à son tour, influe sur le développement de la plante.

Il est donc correct de statuer que le climat se situe à la racine de toutes les influences sur le développement de la plante, id est les phénotypes.

En vérité la formule de calcul devient caduque, on doit utiliser une autre méthode.

Le calcul de rdt est égal à la quantité de matière entrante m1 divisée par la quantité de matière voulue sortante m2 soit :  (m1/m2)*100= rdt en %

Dans notre cas, la destruction de matière entrante n'ayant pas été effectuée et la matière voulue ayant été obtenue, l'équation est rendue caduque.

Si l'on veut obtenir un chiffre pour comparer l'efficacité d'une méthode sur une autre, on peut procéder suivant certaine(s) logiques :

La méthode de calcul de notre rendement ne peut s'opérer que par comparaison des quantités d'huile essentielle obtenue en fonction du temps.

Le calcul prendra donc comme référence le volume de production annuel des producteurs agricoles, au cours de la même période si possible. Après pondération de l'espace utilisé la comparaison pourra être dressée.

La surface de production d'un pays producteur d'huile essentielle de rose de damas comme la Bulgarie est de xkm², mettons que la nôtre soit 2000m², nous procédons alors par la multiplication de notre volume de production pour ramener notre surface à la leur et donc obtenir le chiffre virtuel de notre volume de production si l'on avait autant de surface de production.

C'est une des manières de comparer l'efficacité de notre méthode de production avec toutes les autres.

[Pour obtenir le "vrai" rendement il nous faudrait mesurer la quantité A qui est restée dans la plante après notre processus d'extraction puis de comparer la quantité B que l'on as obtenu au bout du processus, c'est la seule manière d'utiliser le calcul "(m1/m2)*100=rdt", le problème étant que personne ne mesure A et la pertinence du calcul réside dans la comparaison, donc, relativement aux autres producteurs et aux données qu'ils relève; sinon on retombe dans le problème de l'inexistence opérationnel de cette data, on ne peut rien en tirer d'autre qu'une satisfaction personnelle et de base pour continuer d'améliorer notre propre processus, mais ici il ne s'agit pas de nous.]

Technology readiness level, en français c'est "niveau de maturité technologique", aller ici pour comprendre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Technology_readiness_level

On précise le TRL de nos technologies complémentaires mais pas des principales comme la resplendissante extraction non-destructive ? 

Si vous voulez connaitre l'état d'avancement de nos 3 piliers, envoyez nous un email, nous serons ravis de répondre au mieux sur ces technologies en cours de brevetage. 

Les techniques agricoles actuelles mixent usage massif d'engrais avec les pesticides et c'est un duo inséparable*

Les pesticides ont tué toute la faune et la flore sous-terraines ce qui rend la terre compacte et non poreuse. De fait, la terre ne respire plus, accumule beaucoup moins les minéraux et l'eau qui les transportent vers les poches sous-terraines proches (petite nappe phréatique facilement accessible par les plantes et les champignons). 

Le sous sol étant plus compact, la plante y fait ses racines plus difficilement ce qui réduit sa capacité à aller chercher les ressources minérales. La non présence de réseaux de champignons et de bactéries tués par les pesticides supprime une large partie des éléments raffinés par eux, et qui augmente la vitalités des plantes qui se retrouvent donc en déficience si elle n'est pas gavée d'engrais, ce qui alimente un cercle vicieux rendant la plante en état constant de déséquilibre homéostasique, en d'autres termes, elle est constamment malade ce qui baisse les rendements généraux de production agricole.

Ces plantes poussent donc sur des terres mortes,  tuées par les pesticides et les engrais qui étendent le déséquilibre sous-terrain proche aux régions avoisinantes, ces déséquilibres se traduisent par une multiplication d'espèces invasives et ravageuses comme les sauterelles qui, parfois, déciment des plantations entières.

*Si on utilise les engrais, on facilite la pousse de toutes la flore ce qui favorise la prolifération de toute la faune, il faut donc utiliser des pesticides spécifiques qui n'impacte pas la plante qui nous intéresse.

*Si on traite les champs avec des pesticides non spécifique, on détruit toute croissance de flore ce qui endigue la prolifération de faune, il faut donc juste après traiter avec des engrais pour favoriser la pousse des nouvelles pousses que l'on plante.